transports |
16/11/2007
Tout le monde s'accorde, les familles en premier, sur le fait que les réformes sont indispensables à tous les niveaux de notre société.
Les familles s'inquiètent des grèves des étudiants car :
- elles perturbent les études et handicapent l'organisation des stages et des examens.
- elles font croire que la majorité des étudiants mène des actions pseudorévolutionnaires, alors qu'il s'agit le plus souvent d'une minorité agissante en général peu intéressée par les études.
- elles cherchent à paralyser le pays en bloquant les gares comme en 1995, en utilisant des non-étudiants.
Les familles souhaitent que la vie étudiante prépare au plus vite à l'autonomie professionnelle car :
- la vie étudiante reste souvent largement à leur charge et de plus en plus longtemps.
- la multiplication des grèves ne prépare en aucun cas à l'avenir
- le blocage des transports peut gravement gêner la vie professionnelle des pères et mères de famille et des enfants?
- les conséquences économiques négatives retombent en premier sur les familles à faibles revenus et les familles pauvres.
Familles de France demande aux responsables politiques et syndicaux de négocier dans le respect de chacun, selon l'intérêt de tous et pas seulement de catégories socioprofessionnelles pour maintenir des acquis qui n’ont plus leur raison d’être.
Familles de France ne veut pas que les abus de grève, dépouille le droit de grève de toute crédibilité.
Familles de France demande que le « droit au travail » soit respecté pour les étudiants qui veulent la reprise des cours.