contaminations, fautes, erreurs médicales |
L’Association d’Aide Aux Victimes des Accidents des Médicaments (L’AAA-VAM) a été fondée en 1992, suite au nombre de suicides de plus en plus élevés en France, imputables à des tranquillisants et à des somnifères.
L’AAA-VAM lutte pour faire interdire la prescription des tranquillisants et des somnifères trop actifs. L’association fait remonter à l'Agence du médicament les témoignages reçuspour faire avancer la reconnaissance de ces problèmes.
Depuis la création de l’Association plusieurs milliers de témoignages alarmants nous sont parvenus, en ce qui concerne la classe des médicaments appelés benzodiazépines (Halcyon®, Valium®, Lexomil®, Rohypnol®, Stilnox®, Lysanxia®, Tranxene®, Temesta® …).
Nous constatons que les médecins ont tendance à prescrire, sans suivi psychologique, des substances toxiques sans grand intérêt thérapeutique semble-t-il, à des patients trop rapidement étiquetés «malades mentaux».
Nous avons reçu également des témoignages concernant d’autres classes de médicaments ayant fait l’objet de retrait plus ou moins complet. Quinolones®, Noramidopyrine®, Distilbène®, Isoméride®, Anti-cholestérols Staltor®, Cholstat®, Cordarone®, Sabril®, Vioxx®… qui provoquent actuellement cancers, chocs mortels, myopathies, hypertensions pulmonaires, tendinites, infarctus …
Aussi incroyable que cela puisse paraître ces substances vénéneuses, sont toujours autorisées sans contrôle sérieux, au même titre que les benzodiazépines qui sont devenues «remède miracle» ou plus exactement «drogue légale».
Après huit ans de lutte, l’Association a obtenu du Gouvernement au début de l’année 2000 la modification de la monographie (R.C.P.) concernant les médicaments de la classe des benzodiazépines et apparentés.
Une mention avertissant les médecins et les «usagers» que ces «produits de santé» FAVORISENT LE PASSAGE A L’ACTE SUICIDAIRE, figure de manière ambiguë dans le dictionnaire VIDAL® et les notices.
Consulter http://aaavam.free.fr
C'est en réponse aux nombreuses interrogations des victimes d'erreurs médicales que l'association A.A.V.A.C. a vu le jour. Ainsi l'expérience acquise depuis 1990, par nos experts dans l'aide aux victimes d'erreurs médicales, est à votre disposition.
Consulter http://www.aavac.asso.fr
Apporter une aide juridique et judiciaire aux victimes d'accidents médicaux :
- Conseils et orientations juridiques et judiciaires,
- Obtention du dossier médical
- Orientations vers des médecins de recours,
- Informations en matière de jurisprudence,
- Conseils pour obtenir une aide juridictionnelle et l'assistance juridique prévue dans les contrats d'assurance.
Qu'il s'agisse de l'application des dispositions de la loi du 4 mars 2002 ou qu'il s'agisse de l'engagement d'une action contentieuse pour l'obtention de l'indemnisation des dommages subis, l'assistance de l'AVIAM se manifeste par le conseil aux victimes. Celles ci, après adhésion, peuvent demander l'aide de l'AVIAM et un livret d'information leur sera remis à cet effet. La compétence de l'AVIAM est juridique et judiciaire, mais non médicale. L'AVIAM dira aux victimes et à leur famille si leur dossier a une chance d'aboutir ou s'il s'agit d'une cause très difficile à défendre, fournira la liste d'avocats ayant une expérience en responsabilité médicale, etc.
Dynamiser les contacts avec les autorités et les autres mouvements associatifs nationaux et internationaux :
- Participation aux colloques de l'Assemblée Nationale,
- Participation aux Séminaires de Santé,
- Participation aux débats télévisés,
- Publication d'articles dans la Presse nationale,
- Membre de la Fédération Européenne des Associations de Santé,
- Participation à l'office national d'indemnisation des accidents médicaux
- Participation aux Commissions Régionales de Conciliation et d'Indemnisation.
Consulter http://www.aviamfrance.org
Conseil Aide et défense des Usagers de la Santé sur le plan juridique et judiciaire.
Vous estimez avoir été victime :
- d’une erreur médicale,
- d’une infection nosocomiale,
- d’un aléa thérapeutique,
- d’une sur irradiation,
- d’un problème d’anesthésie,
- d’une erreur de diagnostique,
Vous êtes victime d’une Hépatite C,
Vous êtes victime de complications suite à une vaccination obligatoire contre l’hépatite B,
Vous êtes victime de complications suite à la prise de médicaments,
Quels sont vos droits et vos obligations
L'association CADUS peut vous aider et vous conseiller. Son but :
- aide à l’obtention de votre dossier médical
- aide à la constitution de votre demande d'indemnisation pour vous éviter les erreurs et/ou les oublis.
Vous devez être très vigilant tout au long de vos démarches depuis le dépôt de votre dossier jusqu'au protocole d'indemnité transactionnelle.
Vous ne devez jamais intervenir seul.
Consulter http://www.cadus.fr
L' ONIAM est un établissement public administratif placé sous tutelle du ministère chargé de la santé.
L' Office a une double mission : permettre l'organisation effective du dispositif de règlement amiable des accidents médicaux prévu par la loi, indemniser les victimes.
- Il participe par conséquent à la mise en place des Commissions régionales de conciliation et d'indemnisation et assure la mise à disposition des personnels auprès de ces structures ainsi que leur gestion administrative.
- Il a pour autre mission d'indemniser les victimes d'aléa thérapeutique entrant dans le champ de la loi.
Par ailleurs la loi confie à l'ONIAM la mission d'indemniser, pour le compte de l'Etat, les victimes de vaccinations obligatoires.
Enfin la loi sur la responsabilité civile médicale du 30 décembre 2002 transfère à l'Office les obligations de l'association France Hypophyse nées de son rôle dans l'organisation et le traitement des patients par l'hormone de croissance extractive.
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Consulter http://www.oniam.fr